Renforcement des capacités socio-économiques des paysans vulnérables et de leurs collectifs

• Duhamic-ADRI est une ONG d’envergure nationale qui met en œuvre des actions de développement de diverses filières agricoles, de préservation de l’environnement, de sensibilisation à la citoyenneté et de développement de l’emploi rural. Duhamic-ADRI intervient plus particulièrement dans les provinces du Sud, Nord et Ouest ainsi que dans la capitale Kigali où se trouve son siège.
• Adenya intervient dans la zone autour du village de Nyabimata, une des régions les plus pauvres et les plus enclavées du Rwanda. Adenya a pour but d’améliorer la vie de ces paysans en augmentant et en diversifiant la production agricole à travers des pratiques agro-écologiques.

Ce projet est la continuité d’une première phase mise en œuvre de mai 2017 à janvier 2021. La spécificité et la force de cette seconde phase est d’accompagner 64 Organisations communautaires de base (OCB), représentatives de plus de 4 000 paysans vulnérables, afin qu’elles s’impliquent activement dans la démultiplication de formations techniques (petit élevage et agroécologie), dans le développement d’activités de production et de sensibilisation, et dans la mise en œuvre d’actions collectives solidaires sur leurs territoires. 
Ces actions collectives solidaires seront co-construites avec les autorités locales, les écoles, les centres de santé et les paysans afin de proposer des solutions complémentaires aux programmes publics pour répondre aux besoins des ménages paysans les plus vulnérables. L’ensemble de ces activités vise à renforcer les capacités techniques, citoyennes et politiques des paysans les plus vulnérables dans la perspective qu’ils et elles s’engagent pour le développement et la transformation de leurs territoires. 

• 64 Organisations communautaires de base (OCB) sont renforcées dans leur structuration et reconnues comme actrices du dialogue par les autorités
• 64 OCB répondent efficacement aux besoins de leurs membres en proposant des espaces de formation et d’échanges de pratiques entre paysans ainsi qu’en développant des activités agropastorales respectueuses de l’environnement
• 11 alternatives socio-économiques solidaires sont co-construites et mises en œuvre par les différents acteurs du projet